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    Je t'aime (...)
    et je sais que tu m'aimes. 
    Tu n'as pas besoin de mes objets
    pour te souvenir de moi,
    tu n'as pas besoin de les garder
    comme preuve que j'ai existé
    ou que j'existe encore dans ton esprit. 
    Tu n'as pas besoin
    de porter mon chandail
    pour me sentir autour de toi ;
    j'y suis déjà...
    et mes bras t'entourent, à jamais. 
     

    Cecelia Ahern

     
     

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  • Je t'ai cherchée partout, même ailleurs...
    Je t'ai trouvée,
    où que tu sois, je m'endors dans tes regards...
    Ta chair était ma chair...
    De nos moitiés, nous avions inventé des promesses ;
    ensemble nous étions nos demain...
    Je sais désormais
    que les rêves les plus fous
    s'écrivent à l'encre du cœur...
    J'ai vécu là où les souvenirs se forment à deux,
    à l'abri des regards,
    dans le secret d'une seule confidence où tu règnes encore...
    Même sans toi, je ne serai plus jamais seul, puisque
    Tu existes quelque part.
     


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  • Je préfère avoir connu...
    une seule bouffée du parfum de ses cheveux,
    un seul baiser de ses lèvres,
    une seule caresse de sa main
    que toute une éternité sans elle, un seul instant...
     


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  • Je l'ai aimée plus que tout.
    Plus que tout...
    Je ne savais pas qu'on pouvait aimer à ce point...
    Enfin, moi en tout cas, je croyais que je n'étais pas... programmé pour aimer de cette façon.
    Les déclarations, les insomnies, les ravages de la passion, c'était bon pour les autres tout ça.
    D'ailleurs, le seul mot de passion me faisait ricaner.
    La passion, la passion !
    je mettais ça entre hypnose et superstition, moi...
    C'était presque un gros mot dans ma bouche.
    Et puis, ça m'est tombé dessus au moment où je m'y attendais le moins. je...
    J'ai aimé une femme.
    Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie.
    Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre, et puis...
    Et puis je l'ai perdue.
    De la même manière.
     

    Je l'aimais, Anne Gavalda

     
     

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  • Je peux encore sentir sa douceur dans mon cou,
    sa voix, sa chaleur,
    l'odeur de sa peau, tout est là.
    Tout est là...
    Il suffit d'y penser.
    Au bout de combien de temps
    oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée ?
    Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour?
    Qu'on me tende un sablier.
     


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