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    Serge Gainsbourg et Jane Birkin

    Tu es la combinaison parfaite
    entre la perversion et la tendresse.

     

    Serge Gainsbourg et Jane Birkin


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    Prendre. Donner. Oser.
    L'un dans l'autre jusqu'au vertige.
    Dormir ensemble.
    Voguer, dériver, peau à peau.
    Un même souffle.
    Deux moitiés enfin réconciliées.
     

    Cinquante centimètres de tissu propre et sec, Michèle Fitoussi


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  • Sous la lumière, Olivier Mailleux

    Sous la lumière des bougies 
    Et dans nos draps froissés
    Te voilà endormie
    Et moi à te contempler...
    Me revient cet harmonieux ballet 
    De nous et d'images
    Nos corps tremblants entremêlés
    D'orgasmes et de partages
    Sous la lumière
    Je te regarde
    Et cet éphèmere
    Est toute ma garde
    Pendant que tu dors
    En silence, je te contemple
    Le monde se déchire dehors
    Toi, t'es mon refuge, mon temple
    Sous la lumière des bougies
    Tout me revient, tout m'est évidence
    Je t'observe, tes courbes dans la nuit
    Des vérités, des raisons, une existence
    Sous la lumière
    Je te regarde mon amour
    Je suis si heureux et fier
    D'admirer tout tes atours
    A quoi tu rêves sous tes paupières ?
    Jusqu'où tu vogues, tu es partie ?
    On a tous nos mondes, nos atmosphères
    Nos secrets, nos îles, nos interdits
    Sous la lumière, 
    Je te vois mi ombre, ma belle
    Et ni personne, ni Lucifer
    Ne pourrait briser cet essentiel
    Sous la lumière
    Des bougies
    Ton corps qui dort
    Si vrai de vie...
    Sous la lumière
    Eclairant nos draps froissés
    Je te murmure sur terre
    Ces douces vérités
    Je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Et je profite de la nuit pour te le dire
    Je t'aime, je t'aime, je t'aime
    Et j'use de ton sommeil pour me trahir
    Sous la lumière
    De nos bougies
    Notre éphèmere 
    Notre partage de vie... 
     

    Sous la lumière, Olivier Mailleux

     

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  • L'Homme qui rit,  Victor Hugo

     
    On est fait prisonnier par l'âme d'une femme.
    Par sa chair aussi.
    Quelquefois plus encore par la chair que par l'âme.
    L'âme est l'amante ;
    la chair est la maîtresse.
     

    L'Homme qui rit,  Victor Hugo


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    Je ne serai jamais rassasié de toi.
    Cette faim qui me ronge m'est inconnue.
    Elle m'a prit au coeur comme si on m'avait poignardé.
    Elle me bouleverse, me blesse aussi,
    en s'attaquant à moi comme une maladie.
    Elle s'est infiltrée dans mon système immunitaire.
    Mes anticorps ont été vaincus comme de pauvres soldats inutiles.
    Je suis malade de toi.
     

    Tatiana De Rosnay

     
     

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