• Joseph Joubert

    La tendresse est le repos de la passion.

     

    Joseph Joubert


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  • Ils savaient déjà qu'aucun geste de l'autre ne saurait jamais être gênant, ils murmuraient en les redécouvrant les mots crus, maladroits et puérils de l'amour physique et l'orgueil, la reconnaissance du plaisir donné, reçu, les rejetaient sans cesse l'un vers l'autre. Ils savaient aussi que ce moment était exceptionnel et que rien de mieux ne pouvait être donné à un être humain que la découverte de son complément. Imprévisible, mais à présent inéluctable, la passion physique allait faire - de ce qui aurait pu être une passade - une véritable histoire.

    La chamade, Françoise Sagan

     

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    Maya Banks, Corps perdus, tome 1

    Et, de nouveau, il lui donna un baiser. Elle émit un petit gémissement quand leurs langues se mêlèrent, et il eut la sensation qu’il ne pourrait plus jamais se passer de ses baisers. Jamais il n’en serait rassasié. Il mourait de savourer chaque parcelle de son corps. De découvrir ses seins, les moindres replis de sa chair… Il voulait la posséder de toutes les façons imaginables. Jusqu’à ce qu’elle ne doute plus qu’elle lui appartenait et qu’il serait le dernier homme à lui faire l’amour.
     

    Maya Banks, Corps perdus, tome 1


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  • J'ai failli te dire je t'aime, Federico Macia

    Parce que, quand tu fais l'amour avec la personne que tu aimes,
    c'est toujours la première fois,
    c'est toujours un départ.

    J'ai failli te dire je t'aime, Federico Macia


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    Toucher. Toucher. Je ne sais pas comment j'ai toute cette audace.
    Je ne peux parler mais toucher, oui. Avec lui, oui oui oui. (...)
    Il me prend contre lui, il me serre. C'est tout ce que je veux.
    Et que ça ne s'arrête jamais.
    Je découvre je découvre.
    Je n'aurai jamais assez de temps pour découvrir.
    Ce que m'ouvre ce garçon c'est un territoire infini à l'intérieur de moi.
    Nos corps se font confiance.
    Sa peau me devient familière
    et je suis émerveillée de cette intimité qui naît entre nous.
    Je l'aime. Je l'aime pour toujours. 
     

    Pas assez pour faire une femme, Jeanne Benameur


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